Cette décision a été motivée par une série de revers politiques, une perte de soutien au sein de son propre parti, et des défis économiques, notamment les menaces de tarifs douaniers de 25% par le futur président américain Donald Trump.
La démission de la vice-première ministre Chrystia Freeland en décembre 2024 a été un catalyseur majeur de cette décision, révélant des désaccords importants sur la gestion de la relation économique avec les États-Unis.
Plusieurs citoyens canadiens expriment ouvertement leur satisfaction face à cette nouvelle. Sur les réseaux sociaux, particulièrement sur X, plusieurs utilisateurs ont célébré la démission de Trudeau, citant des années de politiques progressistes controversées et une gestion économique critiquée. La chute de popularité de Trudeau, illustrée par les sondages montrant le Parti libéral au plus bas, a également alimenté ces réactions positives chez ceux qui réclamaient un changement à la tête du gouvernement.